L’UE partageait les préoccupations de la communauté internationale concernant le programme nucléaire iranien et, par l’intermédiaire du vice-président / haut représentant (VP / HR), a soutenu et coordonné le groupe E3 + 3 (France, Allemagne, Royaume-Uni, Chine, Russie et États-Unis) en ses longues négociations avec l’Iran.
Le Plan d’action global conjoint (JCPOA) a finalement été approuvé à Vienne en juillet 2015, et en janvier 2016, une fois que l’Iran s’est avéré respecter ses obligations, les sanctions internationales liées au nucléaire contre l’Iran ont été levées. Outre un certain nombre de limitations aux activités nucléaires de l’Iran, le JCPOA a mis en place un système complet et strict d’inspections et de surveillance par l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA)
Cependant, les essais iraniens continus de missiles balistiques et de croisière, bien que techniquement ne violant pas le JCPOA, sont une source de préoccupation dans l’UE et au-delà, tout comme le soutien iranien aux groupes armés à travers le Moyen-Orient.
Un retour des sanctions contre l’Iran en 2018
Citant ces préoccupations et les faiblesses perçues de l’accord, les États-Unis ont décidé de se retirer unilatéralement de l’accord en mai 2018 et ont réimposé complètement leurs sanctions liées au nucléaire à l’Iran en novembre 2018.
En juillet 2019, l’Iran a commencé à violer ses obligations en vertu de la JCPOA, dépassant progressivement un nombre croissant de ses limites, comme l’a confirmé l’AIEA.
L’UE (avec les autres membres E3 + 3) s’est engagée à mettre en œuvre le JCPOA et à poursuivre le commerce avec l’Iran, mais est de plus en plus préoccupée par les derniers développements. L’UE a exprimé son soutien à l’instrument de soutien aux échanges commerciaux (INSTEX), mis en place par les pays de l’E3 (Royaume-Uni, France et Allemagne) en janvier 2019 dans le but de permettre aux exportateurs et importateurs européens de poursuivre des échanges légitimes avec l’Iran malgré Sanctions américaines. Dans le même temps, les sanctions de l’UE liées à la grave situation des droits de l’homme en Iran ne font pas partie du JCPOA et restent en place.
Des activités hostiles de l’Iran sur le territoire européen
En janvier 2019, l’UE a également adopté des sanctions en réponse aux activités hostiles de l’Iran sur le territoire européen, ajoutant le service de renseignement iranien à la liste des terroristes de l’UE. En novembre 2019, la VP / HR a condamné le recours disproportionné à la force contre les manifestants. France et Allemagne) en janvier 2019 dans le but de permettre aux exportateurs et importateurs européens de poursuivre des échanges légitimes avec l’Iran malgré les sanctions américaines.
Dans le même temps, les sanctions de l’UE liées à la grave situation des droits de l’homme en Iran ne font pas partie du JCPOA et restent en place. En janvier 2019, l’UE a également adopté des sanctions en réponse aux activités hostiles de l’Iran sur le territoire européen, ajoutant le service de renseignement iranien à la liste des terroristes de l’UE. En novembre 2019, la VP / HR a condamné le recours disproportionné à la force contre les manifestants. France et Allemagne) en janvier 2019 dans le but de permettre aux exportateurs et importateurs européens de poursuivre des échanges légitimes avec l’Iran malgré les sanctions américaines. Dans le même temps, les sanctions de l’UE liées à la grave situation des droits de l’homme en Iran ne font pas partie du JCPOA et restent en place.
En janvier 2019, l’UE a également adopté des sanctions en réponse aux activités hostiles de l’Iran sur le territoire européen, ajoutant le service de renseignement iranien à la liste des terroristes de l’UE.
En novembre 2019, la VP / HR a condamné le recours disproportionné à la force contre les manifestants. l’ajout du service de renseignement iranien à la liste des terroristes de l’UE. En novembre 2019, la VP / HR a condamné le recours disproportionné à la force contre les manifestants. l’ajout du service de renseignement iranien à la liste des terroristes de l’UE. En novembre 2019, la VP / HR a condamné le recours disproportionné à la force contre les manifestants.